9 oct. 20221 Min
Hameau de la Goulaz et Berce commune (Heracleum sphondylium)
Les papillons sont encore bien présents, mais ils deviendront plus rares quand nous approcherons des 2000 mètres.
- Nacré sp (Argynnis sp) : pas réussi à voir le dessous des ailes...
- Le Sablé du sainfoin (Polyommatus damon)
- Le Moiré lancéolé (Erebia alberganus)
- Le Moiré blanc-fascié (Erebia ligea) sur un Aster des Alpes (Aster alpinus)
- L'Azuré de l'oxytropide (Polyommatus eros)
Les Vincendières, hameau typique de Haute Maurienne
En levant les yeux, on découvre le Glacier de Charbonnel
Épilobe à feuilles de romarin (Epilobium dodonaei)
La Zygène des prés (Zygaena trifolii)
Ici en compagnie d'un autre papillon dit "de nuit" : la Fidonie lutée (Crocota tinctaria)
Le Collier de corail (Aricia agestis)
Et un Azuré non identifié (si c'était le seul... 😕 )
Lui par contre est facile à reconnaître : c'est l'Apollon (Parnassius apollo)
Œillet négligé (Dianthus pavonius)
Le paysage blanchit étrangement. Champ de pissenlits ?
Non : une myriade de Dryades à huit pétales (Dryas octopetala)
Blanc au sol, et blanc au ciel : le front du glacier est impressionnant.
Nous arrivons en vue du hameau d'Avérole.
Une petite ripisylve nous donne l'occasion de faire des observations intéressantes :
- une Fauvette babillarde
- des Mésanges boréales qui se régalent de chenilles
C'est dans ce très beau cadre que nous avons eu droit à la cerise sur le gâteau : l'observation d'une famille de Roselins cramoisis !
Comblés, nous reprenons le chemin de la vallée.
Une marmotte solitaire nous souhaite un bon retour 😁