Ça démarre doucement 2024, comme les années précédentes d’ailleurs. Pas trop envie d’aller se les geler dehors, en plus fait pas beau, et pas grand-chose à mettre sur le capteur. Alors on s’installe derrière les vitres, bien au chaud, et on shoote ce qui passe de l’autre côté. Bon, pas de quoi grimper aux murs, mais ça fait patienter en attendant les premiers redoux.
La mangeoire attire tous les pierrots du quartier, ou plutôt ceux des fermes des alentours. Obligé de leur faire un service et une table rien que pour eux pour éviter qu’ils ne squattent la mangeoire des mésanges… Avec le froid, ils sont bien rondelets.
Tout comme les pinsons.
Au jardin, le geai essaie de retrouver les glands qu’il a cachés à l’automne.
Le merle s’intéresse aux fruits du lierre.
Le pic vert fouille et creuse. Lombrics ? Fourmis ?
La buse se poste à l’affût de temps en temps.
Fin janvier la météo s’améliore. Le Vulcain refait surface.
Le rougegorge prend le soleil.
Les moineaux aussi.
Les mésanges sont carrément flashy.
Allez, c’est le moment de bouger et de faire prendre l’air au matériel photo. A nous la campagne...
Il y a du monde dans les prés :
- Chevreuils
- Vanneaux
- Alouettes (si si, elles sont bien sur la photo...)
- Hérons cendrés
- Hérons garde-boeufs
- Grandes aigrettes
- Pinsons
- Corneilles
- Cigognes
Le tout survolé par de nombreux Milans noirs.
Je finis ce post, comme souvent, par un arc-en-ciel (hivernal celui-là).
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