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MAROC, jour 4

Dernière mise à jour : 30 mars

Le temps n'est pas au beau fixe ce matin. Premier objectif de la journée, le lac Dayet Srji, proche de Merzouga. Situé dans une zone marécageuse, il se remplit d'eau en automne, mais est à sec en été.

Sauf que c'est une photo piquée sur internet (Touring in Morocco). En fait, nous avons plutôt vu ça :

Et aussi ça :

Dans le ciel, une Buse féroce se fait houspiller par des Corbeaux bruns.

Nous prenons une piste en direction de la palmeraie de Rissani.

Ici aussi, la sécheresse récurrente est perceptible.

Nous arrivons quand même à voir un Guêpier de Perse et une Chouette chevêche (sous-espèce Glaux).

Direction une petite zone de falaises pour tenter d'apercevoir du Grand-duc ascalaphe. Malgré les recherches, nous ne voyons que des Pigeons bisets sauvages, un Traquet rieur, et une crotte d'un prédateur inconnu.

Par endroit, le fond de l'oued - à sec - fait pitié. Nous sommes pourtant loin de toute habitation...

Plus loin, vers Jorf, une femelle de Monticole bleu et un Traquet à tête blanche vers un cimetière.

Alors que nous longeons l'oued Ghéris, Alain nous arrête pour nous montrer une zone drainée par des khettaras, canaux souterrains avec des puits d'aération et d'entretien à distance régulière, qui amenaient l'eau depuis la zone montagneuse jusqu'aux zones cultivées. Est-il utile de préciser que nous n'y avons pas vu d'eau ?

Quelques rares fleurs : Chou des champs Moricandia arvensis ?

Nous poursuivons notre route en direction de Mellab. Plusieurs arrêts à la recherche d'oiseaux s'avèrent infructueux.

Constructions modernes, certaines encore en chantier, mais aucune ne semble habitée.

Allah, El Watan, El Malik (Dieu, la Patrie, le Roi). Merci Alain pour la traduction 😉

Avant d'arriver à Tinejdad, nous traversons une petite tempête de sable, mais cela ne dure pas.

Nous voici au débouché des gorges de Todgha, à Tinghir et sa palmeraie.

Nous visitons les gorges en les remontant sur une trentaine de km.

Un barrage récent attend son eau.

A la faveur d'un arrêt, Traquet rieur.

Il y a pire comme environnement...

Mais un peu plus loin, des hommes utilisent encore des abris sous roche !

Redescente vers Tinghir.

Nous passerons la nuit dans un petit riad simple mais très confortable.

La porte d'entrée de notre chambre...

Vue sur la piscine et les jardins.

Malgré la lumière déclinante, nous y avons fait un tour : Merle noir, Fauvette à tête noire, Bulbul des jardins.

Bon appétit !


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